Photo : VCG

De janvier à octobre, la concentration moyenne de PM2,5 à Beijing était de 31 microgrammes par mètre cube, en baisse de 3,1 % par rapport à l'année dernière. La qualité de l'air a été évaluée comme bonne pendant 234 jours, soit 16 jours de plus par rapport à la même période de l'année dernière ; on compte 2 jours de forte pollution (dont 1 jour lié aux tempêtes de sable), soit 6 jours de moins par rapport à la même période de l'année dernière.

Beijing a intensifié ses efforts dans l'action « Un microgramme », en promouvant la transformation verte et à faible teneur en carbone de l'industrie, des sources énergétiques et des transports, améliorant ainsi la qualité du développement par la promotion industrielle verte.

À la fin d'octobre, le nombre total de véhicules à énergie nouvelle immatriculés dans la ville atteignait 957 000, et la proportion d'énergie nouvelle dans les engins mobiles non routiers a continué d'augmenter pour atteindre près de 30 %.

Depuis le mois d'octobre, les différentes régions de Beijing ont coordonné leurs efforts pour faire face aux processus de pollution. Du 31 octobre au 2 novembre, Beijing a déclenché des alertes jaunes en cas de forte pollution de l'air, et mis en œuvre de mesures efficaces. Grâce à ces actions, les trois jours ont été classés comme pollution légère de niveau 3, soit 1 à 2 niveaux en dessous des prévisions.

À l'avenir, Beijing continuera d'améliorer la qualité de l'air, en mettant l'accent sur la réduction des épisodes de pollution sévère et des principaux problèmes environnementaux atmosphériques. La ville déploiera tous les efforts possibles pour consolider et renforcer les progrès réalisés en matière de qualité de l'air.

Source : The Beijing News